La pegoulado...

Cette fête d’Arles est attendu par bon nombre de membres de groupes. La fête familliale, la fête à laquelle participer s’il doit n’y en avoir qu’une, la pegoulado réunit là les "petits costumes".

Réminiscence des retraites aux flambeaux marquant la fin des voto d’antan, le passo carriero de nuit dans les rues d’Arles attire toujours autant de participants, et il semblerait plus de gamins une année après l’autre. Les cris, les rires, chants et danses créent une ambiance à nulle autre pareille sur les lices.
Les Mireieto étaient à l’honneur cette année. Elles ont su profiter pleinement de l’occasion qui leur étaient offerte. Elles étaient encadrées par les groupes d’Arles et du pays d’Arles, et de plus loin encore avec la participation des landais et du Roudelet Felibren de Casteu Goumbert, fidèle à chaque édition.

La fête s’est dégustée jusque tard dans la nuit aux arènes pour un spectacle lors duquel les landais, marseillais, arlésiens et les chevaux ont eu la part belle.

Les fêtes d’Arles continuent cette année avec la course de satin samedi, déplacée à cette date pour cause d’intempérie et avec bien évidemment la fête du costume le dimanche, l’hommage à la reine dimanche après midi, et la cocarde d’or le lundi...

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