Les jeux taurins existent depuis des siècles. Ils étaient assez violents, puis petit a petit, ils ont évolue. Des attributs, foulards, saucissons... étaient accroches aux cornes des taureaux.
Vers 1890, les manadiers se rendent comptent des aptitudes de leurs bêtes, pour affronter les hommes. Qualités physiques, de combativité et d’intelligence. L’élevage du taureau prend des lors une nouvelle orientation. Ils ne sont plus uniquement élevés en tant que bête de boucherie. La sélection commence, on recherche les qualités pour faire un taureau de course.
La course libre est née, les premiers raseteurs apparaissent et des taureaux sortent de l’ombre et certains acquièrent une notoriété.
De nos jours, la fédération française de course camarguaise dirige la course camarguaise.
Les attributs d’un taureau sont :
la cocarde (petit bout de satin rouge placée au milieu du front de la bête)
les glands (élastique avec un pompon blanc mis a la base des cornes)
les ficelles sont enroulées a la base des cornes (elles doivent être de couleur jaune et faite de 12 brins de lin)
Le nombre de tour de ficelle sont :
As/Elite :
-taureaux faciles = 30 tours maxi
-taureaux moyens = 15 tours maxi
-taureaux difficiles = 8 tours maxi
Avenir espoir : a l’ appréciation du manadier dans la limite de 15 tours
Taureaux jeunes = 7 tours maxi
Vache cocardière = 6 tours maxi
Course de présélection = 9 tours maxi
Course de protection = 6 tours maxi
Les différentes courses sont :
La royale : six meilleurs taureaux d’un élevage
Concours de manades : composé de taureaux d’élevages différents
Course de tau : taureaux non castres
Couse de vache cocardière : vaches
Course de protection : Courses de taureaux jeunes avec des raseteurs débutants
Pour plus d’information allez sur : www.ffcc.info