Samedi 21 mai 2011 ,20h00, nous avons rendez-vous avec les amis de Tradicioun devant l’ancienne entrée de l’hôpital d’Arles.

Quinze minutes plus tard, tout le monde est là, tous beaux, en costume. Il faut dire que nous attendions ce moment depuis plusieurs semaines. Les costumes ont été pensés pour cet évènement :
car ce soir, nous allons au bal de la reine !

C’est à la salle Marie Mauron de la résidence Maéva qu’il se déroule. Nous arrivons, l’accueil est sur le qui-vive, visiblement nous sommes parmi les premiers, la grande salle est prête à accueillir la
soirée. Après quelques photos prises devant l’étang, nous nous installons. Petit à petit les tables se remplissent de très belles arlésiennes et d’élégants messieurs. Nous retrouvons d’autres proches
venus, eux aussi, assister à ce bal triennal donné en l’honneur de l’élection de la nouvelle reine.

La salle est pleine, nous attendons l’arrivée des XXème et XXIème règnes. Tour à tour, les demoiselles d’honneur et les reines sont appelées. Elles sont toutes là, magnifiques ! Elles sont présentées
comme les étoiles appartenant à deux constellations. En leur sein, resplendissent deux perles étincelantes ! Une première valse est jouée pour que ces demoiselles ouvrent le bal aux bras de personnalités du Pays d’Arles.

Le bal est mené, dans une première partie, au son du balèti interprété par l’ensemble musical « Fan de Bru » de la Souco Tarascounenco : un panaché de Valses, polka, scottisches et autres mazurkas
sont servies en apéritif, le champagne est ouvert, les plateaux de sucreries circulent. Les yeux brillent lorsqu’Astrid Giraud vient faire quelques photographies avec nous ! En particulier ceux de Justine et
Sophie, les jolies jumelles de Martine, qui fêtent ce soir leur onzième anniversaire ! Elles sont ravie et ne manquent pas de se faire dédicacer leurs carnets de bal par les deux joyaux de la soirée.

Puis vient au tour du Grand Orchestre de Jean Pierre Franck de jouer et d’assurer la suite des réjouissances. La piste de danse se remplit, nous sommes amusés de constater que, de nos jours, les arlésiennes sont plus à l’aise avec le madison qu’avec la valse ! « C’est le XXième siècle… » dira-t-on. Les morceaux se succèdent et l’on passe de paso doble au rock n’ roll avec amplement de facilité pour la gent présente. ^^

La soirée se passe fort agréablement, nous dansons, rions et les discussions vont bon train ! Les carnets de bal des demoiselles et des dames se remplissent. Il est des moments qu’on sait rares et
nous apprécions tout particulièrement celui-ci. Nous partons vers 2h00 du matin comblés par cette magnifique soirée !

Nous garderons de ce bal de merveilleux souvenirs !

Quant à moi, je me souviendrai tout particulièrement de la gentillesse d’Astrid. Et aussi de cette élégante rose rouge, à la taille incroyable, qui parfuma de sa présence ce bal mémorable.

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