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L’année Mirèio

Dernier ajout : 12 octobre 2013.

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  • A la Découverte de la Crau

    25 février 2009, par Marjorie

    E dins lou pargue recampaire, I’avié li pastre de soun paire Qu’anavon deja móuse ; e d’ùni, ‘mé la man Tenènt li fedo pèr lou mourre, Inmoubile davans li fourre, Fasien teta lis agnèu bourre. E de-longo entendias quauco fedo bramant… D’autre couchavon li mantero Vers lou móusèire ; à la sourniero, Asseta su’no pèiro, e mut coume la niue, Di pousso gounflo aquest tiravo Lou bon la caud : lou la ‘spiravo A long raiòu, e s’aubouravo Dins li bord escumous dóu cibre, à visto d’iue. Li chin èron coucha, (...)

  • Le Secret de Fontaine de Vaucluse

    9 février 2009, par Eric Blanc, Magali Blanc

    A une heure d’un pic de crue du Rhône à 6500 m3/s , Fontaine de Vaucluse est en "hautes eaux". Le mugissement du torrent témoigne de la puissance de la Sorgue, qui vient caresser dangereusement le tablier des ponts. Mistral joue avec cette fontaine dont le mystère de l’origine traverse les âges, il décrit ainsi son origine magique : "Parti pour faire danser les filles de l’Isle sur Sorgue, le vieux ménétrier Basile s’endormit à l’ombre un chaud jour, sur le chemin de Vaucluse. Apparut une nymphe (...)

  • Ouverture de l’année Mireio en Arles

    2 février 2009, par Eric Blanc, Magali Blanc, Pierre Madec

    Mirèio a vu le jour de la Chandeleur, le 2 février 1859, un symbole dans la présentation d’un enfant, d’une jeune fille de Provence dont le destin tragique va sonner le renouveau d’une langue et d’un peuple. Cela fait donc 150 ans aujourd’hui. Cent cinquante ans, un prix nobel, les éloges de Lamartine, des traductions dans plus de 30 langues, une adaptation pour l’opéra et d’autres pour le cinema. Et vous ? l’avez vous lu, l’avez vous relu ? Cette question ne sera pas posée ce dimanche dans la salle (...)

  • Découpeuse de velours au Sabre

    1er février 2009, par Eric Blanc, Magali Blanc

    Le Sabre est un accessoire qui à la forme d’un scalpel. Il mesure 25 cm de long, pour 12mm de large. Son extrémité est mieux affutée qu’un rasoir, et ... Il n’y a plus guère que Mme Faure à savoir le manier. Le Ruban d’Arlésienne ne tient qu’à un fil. Ce fil, c’est Mme Faure, la dernière découpeuse de velours au Sabre. Le ruban est extraordinaire de texture, de reflets ; deux caractéristiques qui s’acquièrent en coupant un a un les fils de soie des motifs. La trame a été tissée, et au dessus de celle ci, (...)

  • Un ruban pour la Reine

    1er février 2009, par Eric Blanc, Magali Blanc

    A l’occasion du commencement de l’année Mirèio, le Festiv’Arles a préparé une surprise à sa reine. Une surprise de taille rendue possible grâce à une chaîne de personnes. Mme Castanet pour commencer. Elle a rencontré Mr Alain Vivier-Merle, tisserand, le dernier tisserand à faire perdurer aujourd’hui la technique de la fabrication des rubans d’Arlésiennes. De cette rencontre est née l’idée de faire fabriquer un ruban spécial, le ruban d’une reine, la Reine d’Arles. L’idée posée, il fallait imaginer un motif. (...)

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